« J’ai perdu mon mari il y a un an et mes enfants sont loin. Sophie, une bénévole, est venue discuter avec moi pendant six mois toutes les deux ou trois semaines et ça m’a fait énormément de bien. On a bu des apéritifs et elle est venue dans ma maison de campagne. On se voit toujours comme des amies. J’ai aussi des amies et un groupe avec lequel je sors les jeudis mais je ne voulais pas être un poids pour eux. J’ai connu Entour’âge Solidaire par l’assistante sociale de Caluire que j’ai vue pour ma pension de conversion. La chaleur humaine de Pauline, que je rencontre depuis un an, m’a beaucoup soulagée quand j’étais au creux de la vague. J’ai participé aux chants et à la séance de manucure. On partage des repas. J’y vais une fois par semaine. Avec Entour’âge Solidaire, chacun peut aider les autres à faire quelque chose qu’il maitrise. » Article du Progrès

janvier 2020